En finalité ces plastiques flottants ne représentent que la partie émergée de l’iceberg, puisque 75% d’entre eux coulent après avoir dérivé sur des milliers de kilomètres.
Durant leur long voyage et sous l’effet de l’abrasion par les vagues et du rayonnement solaire, les plastiques se fragmentent. A un stade plus avancé, ils se dégradent en micro-déchets de moins de 5mm puis en nanodéchets qui seront absorbés par les micro-organismes marins.